top of page
Marie, c'est moi !

En 2013, je décide de me perfectionner dans les soins du visage et du corps, et je m'inscris à l'Ecole d'esthétique REGINE FERRERE, qui me permet d'ajouter un CAP d'Esthétique-Cosmétique à mon CV. Avec cette double casquette de coiffeuse et d'esthéticienne, je songe déjà à fonder mon propre salon...

Marie_portrait_3.png

C'est à Vannes, tout près du port et de l'Océan, que j'ai voulu ouvrir mon propre salon, au terme d'un long parcours qui m'a menée à travers villes et continents.

Et c'est peut-être en voyageant que j'ai appris à prendre soin de tous les types de cheveux : européens, afros ou asiatiques, métissés... L'ouverture, la rencontre et la diversité, voilà ce que j'aime dans mon métier !

Par où commencer ? Par mes années d'apprentissage, lorsque j'étais encore jeune coiffeuse à Paris... Brevet professionnel en poche, j'ai appris le métier chez SAINT-ALGUE avant de quitter l'Europe pour l'île de la Réunion. J'y ai travaillé 3 ans dans un salon du même groupe.

En 2009, de retour en métropole, le groupe ETHNICIA m'a confié la direction de l'un de ses premiers salons, sur l'Île Saint-Louis au cœur de Paris : coiffure, soins du corps et du visage, relaxation et bien-être... On proposait une large gamme de prestations réunies dans un même salon, pour tous les types de cheveux et de peaux.

Je voulais apprendre l'anglais... donc sur un coup de tête, je pars travailler à Londres pour quelques mois, au salon SUPERCUT près de la gare de Liverpool Street : c'est là que j'ai appris à proposer  le "blunt cut", une coupe à la mode, ou des concepts de beauté qu'on ne trouvait qu'en Angleterre !

J'ai continué ma carrière à Nantes, puis à Vannes, chez FRANCK PROVOST, où j'ai été très bien reçue. J'aime l'esprit et les paysages de cette ville... Je m'y plais, tout simplement.

 

C'est donc à Vannes que j'ai décidé de m'installer pour de bon, et d'ouvrir le salon qui correspond à l'idée que je me fais de l'accueil et du bien-être de mes clients.

 

Et je lui ai donné mon nom !

                       

Marie DUVERNE 

 

bottom of page